27 février 2025

Souveraineté numérique : La France doit reprendre le contrôle !

 

De la souveraineté industrielle à la colonisation numérique

 
Certains objecteront que la mondialisation favorise les meilleures technologies et que l’interdépendance est inévitable. Pourtant, l’Histoire nous montre que les nations qui ne protègent pas leurs industries stratégiques finissent sous influence étrangère. La France, autrefois une puissance technologique majeure, a perdu du terrain en abandonnant progressivement sa souveraineté numérique.

Nous avons été des pionniers :

  • Dans les années 1960-70, le Plan Calcul a permis à la France de développer son propre secteur informatique, avec des entreprises comme Bull et CII-Honeywell rivalisant avec IBM.
  • La France était la deuxième nation au monde en nombre d’ingénieurs, juste derrière les États-Unis. Nos écoles formaient des milliers de talents qui travaillaient sur des innovations technologiques stratégiques.
  • Alcatel, dans les années 1990, était leader mondial des télécommunications et le deuxième plus grand fabricant de téléphones portables au début des années 2000.
  • Atos, fleuron du numérique, a joué un rôle clé dans les supercalculateurs et la cybersécurité.

Puis, nous avons tout laissé filer :

  • Le rachat d’Alstom par General Electric, privant la France de son indépendance dans le secteur énergétique et industriel.
  • La vente des activités télécoms d’Alcatel à Nokia, éliminant notre capacité à concurrencer Huawei ou Ericsson.
  • L’hébergement des données de santé du Health Data Hub par Microsoft, au mépris des infrastructures cloud françaises.
  • La fuite des cerveaux : la dévalorisation des métiers techniques et l’absence de politique ambitieuse ont poussé de nombreux ingénieurs à s’expatrier vers les États-Unis ou la Chine.

Aujourd’hui, nous vivons une colonisation numérique. Nos outils, infrastructures et données sont sous contrôle étranger. Que se passerait-il si une crise géopolitique poussait les États-Unis à restreindre l’accès à leurs services cloud ? La dépendance aux géants américains et chinois met en péril notre souveraineté économique et technologique.

La France doit cesser d’être une simple consommatrice de technologies étrangères et redevenir une nation innovatrice. Nous en avons le potentiel. Nous avons déjà prouvé que nous pouvions rivaliser avec les plus grands. Il est temps de retrouver cette ambition.
 

Whaller, une alternative pour la souveraineté numérique

 
Si la situation semble alarmante, elle n’est pas irréversible. Des alternatives souveraines existent déjà, et elles sont opérationnelles et performantes. Whaller, acteur majeur du numérique souverain, offre une plateforme complète de collaboration, sécurisée et 100% indépendante des GAFAM.
 

Pourquoi Whaller est une réponse concrète ?

  • Sécurité avancée : Chiffrement de bout en bout, qualification SecNumCloud.
  • Hébergement 100% français : Aucune soumission aux lois extraterritoriales comme le Cloud Act.
  • Respect du RGPD : Vos données vous appartiennent, aucun traçage publicitaire.
  • Une plateforme complète : messagerie instantanée, partage de fichiers, gestion documentaire, visioconférence, sans exploitation commerciale des données des utilisateurs.

Avec Whaller DONJON, nous allons encore plus loin : une solution dédiée aux environnements ultra-sécurisés, idéale pour les administrations, les entreprises stratégiques et toutes les organisations qui souhaitent garantir une protection optimale de leurs échanges.
 

Il est temps d’agir pour notre souveraineté numérique !

 

  • Adoptez des solutions souveraines : Choisissez Whaller pour vos communications, OVHcloud pour votre stockage, Qwant pour vos recherches.
  • Exigez des outils respectueux de votre vie privée : Ne nourrissez plus les GAFAM avec vos données personnelles.
  • Sensibilisez votre entreprise et vos proches : Plus nous serons nombreux à utiliser des solutions européennes, plus nous renforcerons notre autonomie numérique.
  • Soutenez les politiques publiques en faveur de la souveraineté numérique : Encouragez les initiatives visant à préserver l’indépendance technologique de la France.

Nous avons encore le choix. Mais si nous ne faisons rien, nous perdrons totalement notre liberté numérique.

Et vous, êtes-vous prêt à vous libérer de la dépendance aux GAFAM/BATX ? Testez Whaller dès aujourd’hui et rejoignez la révolution numérique souveraine !
 

📖 En savoir plus : Transformation Numérique

 

2 Commentaires

  1. Bourgeois

    Bravo !

    Mais autre « colonisation numérique » : le paiement (Visa, Master card, Paypal, Stripe, Google Pay, Apple Pay). Est-ce que Whaller a déjà analysé notre dépendance dans ce domaine ? Est-ce Whaller entrevoit d’éventuelles solutions ?

    Cordialement

    Réponse
    • Grégory Saccomani

      Bonjour,

      Merci beaucoup pour votre message — et vous avez entièrement raison : la souveraineté numérique ne s’arrête pas aux outils de communication.

      Le secteur du paiement est un angle mort majeur de notre dépendance technologique. Visa, Mastercard, PayPal, Stripe, Google Pay, Apple Pay… Nous utilisons quotidiennement ces solutions, souvent sans alternative européenne réellement visible ou adoptée à grande échelle.

      Chez Whaller, nous n’avons pas encore intégré de solution de paiement — ce n’est pas notre cœur de métier aujourd’hui —, mais c’est un sujet que nous suivons avec attention, notamment dans la perspective d’un écosystème souverain plus large.

      Des initiatives comme Paylib, Cartes Bancaires (CB) ou certaines briques issues du projet EPI (European Payments Initiative) vont dans le bon sens. Mais il reste du chemin pour atteindre un niveau d’adoption comparable à celui des géants américains.

      Ce que nous pouvons faire, à notre niveau, c’est sensibiliser, comme vous le faites très justement, et, à terme, s’intégrer avec des solutions souveraines si elles répondent aux besoins de nos utilisateurs.

      Encore merci pour cette contribution essentielle au débat !

      Nous sommes preneurs d’autres réflexions sur ces sujets — c’est ensemble qu’on construira un numérique vraiment indépendant.

      Réponse

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