18 novembre 2025

SecNumCloud : Pourquoi les entreprises critiques doivent impérativement s’y intéresser

SecNumCloud Whaller

Imaginez un hôpital régional paralysé un soir par une cyberattaque, ou un opérateur d’énergie découvrant que les données de ses centrales nucléaires sont hébergées sur le cloud d’un fournisseur étranger, potentiellement accessible en vertu du Cloud Act américain. Ces situations, autrefois hypothétiques, sont aujourd’hui bien réelles. La menace numérique s’intensifie : 89 % des collectivités territoriales en France disent avoir déjà été la cible d’une cyberattaque, et les incidents de cybersécurité ont augmenté de 9 % entre 2022 et 2023. Dans ce contexte, l’État renforce la réglementation via la directive européenne NIS2, imposant aux organismes vitaux des mesures strictes sous peine de lourdes sanctions. Face à l’urgence, une réponse s’impose comme un rempart stratégique : la qualification SecNumCloud.

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SecNumCloud, lancé par l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), s’est imposé en quelques années comme la référence absolue pour un cloud de confiance en France. Si vous êtes une Entité Essentielle (EE), une Entité Importante (EI) ou un Opérateur d’Importance Vitale (OIV), vous ne pouvez plus ignorer ce label synonyme de cybersécurité souveraine et de conformité réglementaire. Voyons en détail pourquoi SecNumCloud est devenu incontournable pour les organisations critiques, et comment il répond aux enjeux de NIS2, de souveraineté numérique et de cybersécurité.
 

SecNumCloud : la garantie d’une cybersécurité souveraine et conforme

 
Le référentiel SecNumCloud a été conçu pour assurer un niveau de sécurité maximal sur l’ensemble de la chaîne de confiance : protection des données, robustesse de l’infrastructure, gouvernance stricte et souveraineté juridique. Autrement dit, ce label ne se contente pas de cocher des cases – il impose des garanties concrètes et vérifiées. Contrairement à de simples promesses contractuelles ou même à des certifications internationales classiques (du type ISO 27001), SecNumCloud va bien plus loin en posant des exigences strictes sur des points clés :

  • Immunité aux lois extraterritoriales : le fournisseur qualifié ne doit pas être soumis à des législations type Cloud Act américain. En clair, vos données ne pourront pas être communiquées à une puissance étrangère sur simple injonction légale. Cette exigence répond à des cas concrets : par exemple, le recours d’EDF à AWS pour des données nucléaires a soulevé le risque d’accès par les autorités US en vertu du Cloud Act et du FISA – un scénario que SecNumCloud vise précisément à éviter.
  • Audits ANSSI et contrôle continu : l’ANSSI elle-même procède à des évaluations poussées (tests d’intrusion, analyses de vulnérabilités, examens organisationnels) avant de délivrer le visa SecNumCloud. Même après l’obtention, le fournisseur fait l’objet de contrôles réguliers pour garantir le maintien du niveau de sécurité. Ce pilotage de la sécurité par un tiers indépendant offre une assurance bien supérieure à un simple audit interne annuel.
  • Pilotage 100 % européen : de la gouvernance aux équipes techniques, tous les acteurs de la chaîne cloud doivent être citoyens de l’Union Européenne. Cela limite drastiquement les risques d’ingérence économique ou d’accès non-autorisé par des intérêts extérieurs. Vous bénéficiez ainsi d’un cloud véritablement souverain, à l’abri des influence étrangères.

Exemple concret : l’affaire AWS–EDF a illustré les dangers d’une dépendance à un acteur non-souverain. La qualification SecNumCloud apporte une réponse en offrant des alternatives cloud souveraines répondant aux besoins stratégiques de sécurité nationale.

En bref, SecNumCloud ne vise pas seulement à protéger vos données contre les cybermenaces, mais aussi à s’assurer que personne – en particulier aucune puissance étrangère – ne puisse y accéder ou les exploiter sans contrôle. C’est un niveau de garantie que même les meilleures certifications standards n’offrent pas toujours : SecNumCloud redéfinit les standards de confiance numérique en ajoutant la dimension de souveraineté aux exigences de cybersécurité classiques.

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NIS2 : de nouvelles obligations pour les entités critiques

 
Adoptée fin 2022, la directive européenne NIS2 (Network and Information Systems Security 2) est venue durcir considérablement le cadre réglementaire en matière de cybersécurité pour les secteurs vitaux. Transposée en droit français en 2023, NIS2 s’applique désormais à un périmètre élargi d’organisations jugées critiques pour la société. Deux catégories d’acteurs sont définies :

  • Entités Essentielles (EE) : grandes structures des secteurs sensibles (santé, énergie, transport, distribution d’eau, infrastructures numériques, administrations publiques…).
  • Entités Importantes (EI) : acteurs plus “seconde ligne” mais tout de même stratégiques (industries manufacturières, agroalimentaire, banques secondaires, etc.).

Que vous soyez EE ou EI, NIS2 vous impose de renforcer drastiquement votre cybersécurité. Parmi les obligations clés figurent :

  • Analyse de risques régulière et mise en place de mesures techniques et organisationnelles proportionnées aux menaces.
  • Notification des incidents majeurs dans un délai de 72 heures à l’ANSSI, afin de favoriser une réaction rapide au niveau national.
  • Recours à des services cloud hautement sécurisés : pour certains secteurs, l’utilisation d’offres qualifiées SecNumCloud (ou équivalent européen) est désormais exigée. C’est une reconnaissance officielle que le niveau de sécurité SecNumCloud devient la norme à atteindre.
  • Contrôles et audits : l’ANSSI, en tant qu’autorité de supervision, pourra mener des audits réguliers ou inopinés pour vérifier la mise en œuvre des mesures. Des preuves de conformité pourront être demandées à tout moment.
  • Sanctions lourdes en cas de manquement : le non-respect de NIS2 expose à des amendes pouvant atteindre 10 millions d’euros ou 2 % du chiffre d’affaires mondial pour les Entités Essentielles (et 7 millions ou 1,4 % du CA pour les Entités Importantes). Surtout, la directive introduit la notion d’ »irresponsabilité numérique », permettant de sanctionner personnellement les dirigeants négligents, voire de leur interdire d’exercer en cas de manquement grave.

Ces nouvelles règles changent la donne : la cybersécurité n’est plus optionnelle ni même simplement souhaitable, elle est obligatoire et engage la responsabilité directe de la direction. Dans ce contexte, le choix d’un prestataire cloud non qualifié SecNumCloud devient un risque majeur, à la fois sur le plan juridique (non-conformité potentielle à NIS2) et opérationnel (exposition accrue aux incidents). À l’inverse, s’orienter vers un cloud qualifié SecNumCloud permet de cocher d’emblée un grand nombre de cases exigées par NIS2 : c’est un gage de conformité, de sérieux et de confiance pour l’autorité de contrôle comme pour vos clients et usagers.

Tendances et chiffres clés 2023-2024

 
La montée en puissance de NIS2 et DORA s’inscrit dans un contexte d’intensification de la menace cyber et de durcissement réglementaire :

  • +40 000 organisations concernées par NIS2 en France (ANSSI)
  • 72 h pour notifier un incident majeur, sanctions jusqu’à 10 M€ / 2 % du CA mondial (NIS2)
  • 100 % des acteurs financiers couverts par DORA, y compris prestataires IT (ACPR)
  • +9 % d’incidents cyber recensés en France en 2023 (ANSSI)
  • +12 %/an d’augmentation moyenne du budget cybersécurité pour les grandes entreprises françaises (Cigref)

Selon le Panorama de la menace cyber 2024 de l’ANSSI, les attaques se concentrent désormais sur les acteurs stratégiques. La cybersécurité devient ainsi un levier de résilience économique, réglementaire et souveraine.

 

SecNumCloud : un label de confiance pour le public comme le privé

 
De plus en plus, la qualification SecNumCloud s’impose comme un standard de fait dans les appels d’offres et les choix de prestataires, aussi bien dans le secteur public que privé. L’État a donné le ton : de nombreuses collectivités locales, ministères et hôpitaux exigent désormais, dans leurs marchés, des solutions cloud qualifiées SecNumCloud comme prérequis. Cette tendance gagne aussi le privé : banques, assurances, grands industriels intègrent ce critère de souveraineté numérique dans leurs décisions d’achat. Opter pour un fournisseur qualifié, c’est accéder à un cercle restreint de partenaires de confiance tout en assurant la conformité de ses propres activités.

Les bénéfices sont doubles : d’une part, vous rassurez vos clients, patients, administrés sur le fait que leurs données sensibles seront traitées avec le plus haut niveau de sécurité. D’autre part, vous facilitez le dialogue avec les régulateurs ou donneurs d’ordre en affichant d’emblée une posture proactive de conformité. Par exemple, dans le secteur financier, un courtier comme Artémis courtage (450 collaborateurs à travers la France) a choisi une plateforme collaborative souveraine afin de fédérer ses équipes en toute sécurité. L’entreprise met en avant le « très haut niveau de sécurité » de cette solution, un critère indispensable exigé par les banques et compagnies d’assurance partenaires. Cette assurance de confiance est devenue un argument concurrentiel : disposer d’un cloud qualifié peut faire la différence pour remporter un contrat face à un compétiteur moins sécurisé.

Autre illustration, du côté du secteur public : l’APEC, association nationale pour l’emploi des cadres, a déployé une plateforme collaborative sécurisée pour animer ses communautés régionales. Environ 30 000 membres s’y connectent déjà, avec l’objectif d’atteindre 180 000 utilisateurs à terme. Pourquoi ce choix ? Parce que « les données des cadres devaient être absolument protégées et donc hébergées en France », souligne Nicolas François, responsable du Lab Innov’ à l’APEC. Pour cet acteur soutenu par des fonds publics, il était logique et cohérent d’investir dans une solution française et souveraine, afin de préserver la confidentialité des échanges tout en soutenant l’écosystème local. Là encore, le label SecNumCloud répond parfaitement à ces exigences de souveraineté et de confiance.

En choisissant un prestataire qualifié SecNumCloud, vous rejoignez donc une élite de fournisseurs et de clients qui partagent les mêmes standards élevés. C’est un signal fort envoyé à votre écosystème : celui d’une organisation soucieuse de la sécurité de ses données et de sa conformité réglementaire.
 

Qui sont les fournisseurs qualifiés SecNumCloud ?

 
Obtenir la qualification SecNumCloud n’est ni simple ni rapide – et c’est tant mieux. Ce niveau d’exigence élevé en fait un véritable marqueur de sérieux sur le marché du cloud. Fin 2025, moins de dix offres au total avaient obtenu ce visa en France. On y retrouve de grands acteurs de l’infrastructure comme OVHcloud ou 3DS Outscale, des spécialistes du cloud souverain tels que Cloud Temple ou Oodrive, mais aussi des solutions applicatives innovantes comme Whaller, première plateforme collaborative à avoir décroché cette qualification. La liste complète est publiée et mise à jour par l’ANSSI sur son site officiel.

Qu’est-ce que cela signifie pour vous, client ou utilisateur ? D’abord, que le choix est restreint : seules ces quelques offres ont prouvé qu’elles pouvaient atteindre le niveau de confiance exigé. Ensuite, que toutes ne se valent pas en termes de périmètre : certaines sont des services IaaS/PaaS (infrastructures ou plateformes cloud) sur lesquels vous pouvez déployer vos propres applications, tandis que d’autres, comme Whaller, sont des solutions SaaS prêtes à l’emploi. Il est important de distinguer un fournisseur SaaS qualifié SecNumCloud (dont l’application elle-même est auditée de bout en bout) d’un éditeur SaaS qui se contenterait d’héberger ses données sur une infrastructure qualifiée sans être lui-même soumis aux obligations SecNumCloud. Dans le second cas, seul l’hébergeur infrastructure est contraint par les exigences, pas l’éditeur du logiciel – ce qui limite les garanties effectives. Privilégiez donc, quand c’est possible, des solutions intégralement qualifiées SecNumCloud (infrastructure et logiciel) pour bénéficier d’une protection holistique.

Enfin, le fait que peu de fournisseurs soient certifiés est en soi révélateur : la barre est haute, et ceux qui l’atteignent démontrent un réel engagement en matière de cybersécurité et de souveraineté. En travaillant avec eux, vous accédez à un écosystème de partenaires sur lesquels vous pouvez vous appuyer en confiance.

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SecNumCloud en action : 4 cas d’usage sectoriels

 
Comment la qualification SecNumCloud se traduit-elle concrètement sur le terrain ? Voici quelques exemples inspirés de secteurs différents – santé, finance, industrie, collectivités – qui illustrent la valeur ajoutée d’un cloud souverain et hautement sécurisé.
 

Secteur de la santé : des hôpitaux plus résilients

 
Dans la santé, la sécurité numérique n’est plus un sujet théorique, mais un impératif vital. Selon le CERT Santé, les attaques visant les établissements de santé ont de nouveau augmenté en 2023, avec un maintien à un niveau de menace élevé, des interruptions de services constatées, et une dépendance accrue au numérique médical

Ce contexte a conduit l’État à réaffirmer l’importance d’une architecture numérique souveraine via la PGSSI-S, qui impose des référentiels stricts en matière d’hébergement et de sécurité des données de santé

Concrètement, de plus en plus d’hôpitaux et de GHT recherchent des environnements de collaboration qualifiés SecNumCloud pour sécuriser la circulation des informations sensibles : protocoles médicaux, dossiers patients, pilotage d’unités critiques, plans d’urgence internes. La capacité à partager des informations cliniques en temps réel dans des espaces cloisonnés, tout en respectant le secret médical et l’intégrité du SI hospitalier, devient un facteur de performance clinique.

Ce mouvement s’inscrit dans la logique nationale décrite par le SGDSN, pour qui le cloud de confiance constitue un pilier de résilience des infrastructures vitales

En résumé, dans la santé, SecNumCloud incarne la continuité des soins et la protection du patient. Il garantit que même en crise, l’infrastructure reste disponible, contrôlée et juridiquement protégée.
 

Secteur financier : la confiance comme maître-mot

 
Le secteur financier figure parmi les plus exposés. L’ACPR observe une montée en puissance des externalisations numériques, avec plus de la moitié des établissements déléguant des fonctions critiques à des prestataires cloud

Cette dépendance crée un risque systémique reconnu par les régulateurs : le rapport annuel 2023 de l’ACPR insiste sur le risque cyber comme risque principal pour la stabilité du secteur

Avec l’entrée en vigueur de DORA, les exigences montent encore : contrôle strict des prestataires, documentation continue, auditabilité, localisation maîtrisée des données et capacité à garantir la continuité d’activité en cas de crise.

Le recours à des solutions qualifiées SecNumCloud permet aux institutions financières de :

  • protéger le patrimoine informationnel (documents bancaires, contrats d’assurance, scoring, données clients)
  • garantir la conformité RGPD et DORA
  • démontrer une gestion maîtrisée des risques d’externalisation

Comme le rappelle l’ACPR dans sa notice sur le risque IT, la cybersécurité est désormais un pilier stratégique prioritaire

Le cloud souverain qualifié devient donc non seulement un choix de cybersécurité, mais un critère crédible de confiance et de conformité face aux régulateurs.

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Secteur industriel : innovation et souveraineté européenne

 
L’industrie européenne vit une transformation numérique majeure, mais cette digitalisation accroît l’exposition aux menaces et aux risques d’espionnage économique. La Stratégie nationale de cybersécurité rappelle l’importance stratégique de protéger les données industrielles, la propriété intellectuelle, et les chaînes de production.

Le SGDSN insiste également sur la protection des savoir-faire industriels français face aux risques d’ingérence.

Les clouds qualifiés SecNumCloud apportent à l’industrie :

  • un hébergement non soumis aux lois extraterritoriales
  • un cloisonnement strict des espaces de travail
  • une garantie de confidentialité industrielle
  • la protection des données R&D, design, innovation, supply chain

Dans un contexte où l’union européenne soutient massivement l’innovation industrielle souveraine (France 2030, EIT, relocalisation technologique), la sécurité numérique devient un facteur de compétitivité. Sécuriser les échanges entre sites, bureaux d’étude ou partenaires industriels n’est plus un coût, mais un actif stratégique essentiel.
 

Secteur public et collectivités : protéger les données des citoyens

 
Les collectivités locales sont aujourd’hui en première ligne. Selon le CERT-FR, les attaques contre les administrations territoriales restent très élevées, causant pertes de données, paralysie des services et impact citoyen direct.

Le Sénat l’a rappelé dans son rapport 2024 sur la cybersécurité des collectivités :

Ces constats ont conduit l’État à imposer une ligne claire via la doctrine Cloud au centre, qui encourage explicitement le recours aux solutions souveraines.

Ou encore via la circulaire interministérielle sur l’usage du cloud dans l’administration.

L’objectif est simple :

garantir que les données publiques – état civil, fiscalité, social, infrastructures critiques – restent protégées, auditables, opérées sous contrôle français, et résilientes en cas de crise.

SecNumCloud devient ici un gage d’intérêt général et de confiance démocratique, en alignant la transformation numérique publique avec la protection des citoyens.
 

En résumé : sécuriser l’avenir avec un cloud souverain

  • La souveraineté numérique, une nécessité stratégique : hier optionnelle, elle est devenue une obligation réglementaire pour les acteurs critiques (NIS2, LPM…). Protéger ses données ne suffit plus ; il faut aussi garantir leur immunité face aux lois étrangères et maîtriser la chaîne de bout en bout.
  • SecNumCloud, un cadre d’excellence : ce label offre le référentiel le plus exigeant pour sécuriser vos données et vos applications en toute conformité. En choisissant une solution qualifiée, vous adoptez les meilleures pratiques en matière de sécurité cloud – auditée, éprouvée et validée par l’ANSSI. C’est l’assurance d’un cloud « zéro compromis » sur la sécurité comme sur la souveraineté.
  • Un choix payant sur le long terme : opter pour un prestataire qualifié SecNumCloud, c’est réduire vos risques dès aujourd’hui, protéger vos actifs les plus précieux et préparer sereinement l’avenir numérique de votre organisation. Vous évitez les écueils juridiques, vous inspirez confiance à vos partenaires, et vous vous dotez d’une infrastructure résiliente face aux menaces de demain.

En conclusion, les entités essentielles/importantes et OIV ont tout à gagner à intégrer SecNumCloud dans leur stratégie. C’est à la fois un bouclier contre les cyber-risques et un passeport pour une transformation numérique maîtrisée, sous le signe de la confiance.
 

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